Déplorations italiennes

Après les "déplorations" (Lamentations sur le Christ mort) flamandes, que l'on trouve ici, voici les italiennes. Il faut reconnaître que face à quelques chefs-d'oeuvre septentrionaux, la densité des productions italiennes, leur variété, sont impressionnantes. Le morcellement de la péninsule en duchés, principats, comtés, ou villes libres (Florence, Gênes, Venise), favorisa l'éclosion de nombreux talents, car de cette multiplicité naquit une émulation entre monarques ou gouvernants qui fut favorable aux arts.

On peut s'en rendre compte dans la présentation suivante, où malgré le thème peu joyeux, le talent se déploie dans une grande variété de formes et de couleurs. On peut ainsi parcourir deux siècle de peinture dans la péninsule, à une époque où cette peinture fut à son apogée. 

La présentation: Deplorations italiennes (4.27 Mo)  

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